- EAN13
- 9782234049154
- ISBN
- 978-2-234-04915-4
- Éditeur
- Stock
- Date de publication
- 03/1998
- Collection
- La cosmopolite
- Nombre de pages
- 368
- Dimensions
- 18 x 11 x 1,7 cm
- Poids
- 262 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- danois
- Code dewey
- 839.813
- Fiches UNIMARC
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Maison blanche. Maison grise.
récits
De Herman Bang
Traduit par T. Hammar
Préface de Claudine Brécourt-Villars
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La cosmopolite
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Avec Maison blanche (1898) et Maison grise (1901). Herman Bang se tourne vers la pureté de l'enfance, et se livre à une sorte de "Recherche du temps perdu" intimiste et sensible, rythmée par le miracle des saisons, dominée par la figure d'une mère lumineuse bien-aimée et de personnages attachées déjà croisés dans Tine, roman admirable où il saisit la vie dans ses aspects les plus fugitifs et les plus significatifs.
Né en 1857 dans l'île de Als sur la côte orientale du Schleswig, Herman Bang est l'une des figures les plus singulières et les plus fascinantes de la littérature danoise. Son oeuvre, traduite dans plusieurs langues, a renouvelé de façon décisive la littérature scandinave de la fin du xixe siècle. Il avait à peine vingt-trois ans lorsqu'il remporta un succés de scandale avec Familles sans espoir, roman autobiographique "fin de siècle" qui témoigne de son admiration pour Balzac, Flaubert, Maupassant et Zola, mais qui lui valut une interdiction pour outrage à la morale publique. Après avoir refusé le Prix Nobel en 1911, il mourut solitaire et en exil au cours d'une tournée de conférences aux Etats-Unis, le 29 janvier 1912.
Né en 1857 dans l'île de Als sur la côte orientale du Schleswig, Herman Bang est l'une des figures les plus singulières et les plus fascinantes de la littérature danoise. Son oeuvre, traduite dans plusieurs langues, a renouvelé de façon décisive la littérature scandinave de la fin du xixe siècle. Il avait à peine vingt-trois ans lorsqu'il remporta un succés de scandale avec Familles sans espoir, roman autobiographique "fin de siècle" qui témoigne de son admiration pour Balzac, Flaubert, Maupassant et Zola, mais qui lui valut une interdiction pour outrage à la morale publique. Après avoir refusé le Prix Nobel en 1911, il mourut solitaire et en exil au cours d'une tournée de conférences aux Etats-Unis, le 29 janvier 1912.
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